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Vues : 3 659 À 16 ans seulement, la jeune joueuse américaine d’origine camerounaise est vainqueur en double dans la catégorie juniors du prestigieux tournoi de Paris ( Roland Garros) avec pour partenaire et coéquipière Tyra Caterina Grant .Très talentueuse, clervie fait partir des étoiles montantes […]
À 16 ans seulement, la jeune joueuse américaine d’origine camerounaise est vainqueur en double dans la catégorie juniors du prestigieux tournoi de Paris ( Roland Garros) avec pour partenaire et coéquipière Tyra Caterina Grant .
Très talentueuse, clervie fait partir des étoiles montantes du tennis mondial au féminin.
Vues : 1 761 Alors que les championnats MTN Elite one et two ont rendu leur verdict, et qu’on croyait pouvoir se concentrer sur la coupe du Cameroun et la Guinness super League une affaire vient défrayer la chronique et reléguer au second plan tout se qui […]
Alors que les championnats MTN Elite one et two ont rendu leur verdict, et qu’on croyait pouvoir se concentrer sur la coupe du Cameroun et la Guinness super League une affaire vient défrayer la chronique et reléguer au second plan tout se qui se passe sur les pelouses nationales en ce moment.
Il y a de cela quelques jours lors de la signature de son contrat avec l’entreprise de pari sportif 1xbet Samuel ETO’O (pdt FECAFOOT) promettait de traquer et libérer le football national de la mafia des matchs truqués. Une sortie qui confirmait ainsi les dires de plusieurs personnalités et médias qui avaient déjà fait couler beaucoup d’encre, notamment Donald NGAMENI (pdt Unisport du Haut Nkam), BALAFON RADIO etc. C’est ainsi, il y a de cela quelques jours, on apprenait qu’un vaste réseau de corruption et de trucage des matchs était en train d’être démanteler.
D’après nos informations le dossier d’enquête serait entre les mains de la justice camerounaise et des auditions auraient débutées. Bien que les noms des personnes ne soient pas encore cités, on compterait parmi ces présumés coupables : des présidents de clubs, des joueurs, des arbitres, des salariés de la Fédération, agents de joueurs etc. Des pratiques qui ternissent encore plus l’image du football local. En cas de confirmation des faits les coupables seront passible de peines d’emprisonnement et/ou radiation a vie de la sphère footballistique camerounaise.
Vivement que les auditions et enquêtes portent leurs fruits et que le football camerounais soit débarrassé de ces personnes malhonnêtes qui contribuent à tuer le sport roi au Cameroun.
Vues : 6 417 Un Mercredi 24 mai 2023, le stade Roland-Garros vit au rythme des qualifs. Dans les tribunes, il y a foule. Dans les allées, les ramasseurs de balles, les RG Ballos, tentent de se frayer un chemin, pour rallier leur vaste fief situé sous le court n°9. Véritable fourmilière, à […]
Un Mercredi 24 mai 2023, le stade Roland-Garros vit au rythme des qualifs. Dans les tribunes, il y a foule. Dans les allées, les ramasseurs de balles, les RG Ballos, tentent de se frayer un chemin, pour rallier leur vaste fief situé sous le court n°9. Véritable fourmilière, à l’ambiance façon colonie de vacances, c’est là que nous retrouvons deux d’entre eux. Assise sur sa chaise en fils de résine, Bernadette Djamoni, 11 ans et demi, regarde, d’un air détaché, le match de Lucas Pouille face au Taïwanais Tseng Chun-hsin. Rejoint quelques minutes plus tard par son frère Fladimi Ndoy, 16 ans, revenant tout juste d’une rotation. La sœur et le frère sont originaires du Cameroun. “Pour en arriver là, nous avons dû passer une sélection au Cameroun. Nous étions 40 enfants, nous dit sérieusement Fladimi. Ma sœur est n°1 cadette et moi n°1 juniors au niveau national.
C’est formidable d’être là. De voir les joueurs, l’intensité qu’ils mettent dans les échanges, voir ça en live, c’est si différent.” Joueurs au club France de Yaoundé, le frangin et la frangine font ainsi partie des 280 ramasseurs de balles à officier durant le tournoi. Un contingent qui s’est ouvert depuis quelques années aux étrangers. C’est dans ce contexte que l’arbitre international Éric Tanga à solliciter la Fédération Française de tennis, afin que deux de ses jeunes prennent part au sacre du printemps.
Issus d’une famille nombreuse et modeste, Bernadette et Fladimi, impressionnés à leur arrivée à Paris par le changement climatique et par la taille des immeubles parisiens, sont des enfants de la balle: “Nous avons découvert le tennis à travers notre père qui est coach, explique Bernadette. Lorsque nous étions petits, il nous amenait souvent au club, on regardé comment il jouait avec les membres, et on a pris goût, comme cela.” Biberonnés au tennis dès l’âge de cinq ans, le tennis est aujourd’hui pour eux un moyen de s’en sortir. Sans misérabilisme, mais avec dignité, les deux gamins de Yaoundé sentent “le sentiment de responsabilité” qu’ils nourrissent envers les huit heures d’entraînement hebdomadaires en plus de leurs études. Sans oublier le dévouement de leur père, qui à la débrouille, parvient à subvenir à leur besoin. Leur rêve, est de devenir joueurs professionnels, afin d’élever toute la famille à un autre rang social. Avant de s’envoler pour Paris, Bernadette Djamoni et Fladimi, ont eu la belle expérience de rencontrer au Cameroun un certain Yannick Noah. “Il nous a dit de nous amuser, de profiter, de bien se concentrer de se faire des amis” dixit Bernadette de sa placide voix. Mais à court terme, les deux ramasseurs de balles aimeraient bien officier lors de ma finale du simple Messieurs. Pour y parvenir, il faudra se classer parmi les meilleurs ramasseurs du tournoi. « La compétition, nous sommes habitués à cela », nous rétorque Fladimi. Les fameux RG Ballos sont notés quotidiennement par des superviseurs où l’agilité, le bon respect des règles ou encore l’anticipation est pris en compte. “Les jeunes apprennent ici de nombreuses valeurs comme l’exigence, l’entraide, l’autonomie, nous précise l’un des superviseurs officiant aux bords des courts. C’est fréquent que des parents nous envoient des messages à la fin du tournoi pour nous dire qu’ils trouvaient leur enfant changé.” Changés, Bernadette et Fladimi le sont déjà.
Une expérience qui viendra sans nul doute nourrir leur ambition commune, celle d’emprunter l’ascenseur social proposé par le tennis et de se retrouver, peut-être, d’ici quelques années, à nouveau sur les terrains de Roland-Garros, mais cette fois, raquette en main pour devenir qui sait les futurs Yannick NOAH.
Vues : 3 351 Les échecs se suivent et se ressemblent, les discours aussi. Nicolas Escudé n’a pas dérogé à la tradition .le directeur technique national (DTN) a fait le bilan de la quinzaine des Français, ou plutôt de la première semaine ces trois dernières années. […]
Les échecs se suivent et se ressemblent, les discours aussi. Nicolas Escudé n’a pas dérogé à la tradition .le directeur technique national (DTN) a fait le bilan de la quinzaine des Français, ou plutôt de la première semaine ces trois dernières années. Le tennis français avance à reculons. Après avoir grondé de ne pas voir un successeur à Yannick Noah, le public se réjouirait désormais d’en voir un en deuxième semaine. Le dernier en date, c’est Hugo Gaston, improbable huitième de finaliste en 2020. Depuis, les Bleus ont plongé dans l’anonymat : quatre au troisième tour en 2022, et aucun au deuxième tour en 2021 et 2023, le pire bilan de l’ère Open (1968). Alors à qui la faute ?
« On ne peut pas rendre la Fédération coupable de tout. Les premiers responsables, et malheureux, sont les joueurs », pointe d’entrée Nicolas Escudé, glissant à demi-mot que la FFT ne se dédouanait pas totalement. Mais le choix des mots n’est pas anodin et concorde avec ceux de son président Gilles Moretton. « La réussite est un projet individuel », soulignait-il, jeudi matin, lors d’une rencontre avec la presse régionale dont « Sud Ouest ». « Je prends l’exemple de Yannick Noah à Nice. S’il est arrivé là où il est arrivé, c’est que le soir au tennis-études, il allait faire une heure de service tout seul. Moi je m’entraînais comme on me demandait mais lui avait décidé d’être un champion. C’est une question de mentalité », renchérissait l’ex-65e joueur mondial.
Vues : 183 Depuis plusieurs années maintenant, l’Arabie Saoudite est en train de devenir un acteur majeur du football mondial. La Fédération saoudienne de football a engagé d’importants investissements pour améliorer le niveau de jeu de ses équipes et pour développer les infrastructures du football […]
Depuis plusieurs années maintenant, l’Arabie Saoudite est en train de devenir un acteur majeur du football mondial. La Fédération saoudienne de football a engagé d’importants investissements pour améliorer le niveau de jeu de ses équipes et pour développer les infrastructures du football dans le pays. Ces investissements commencent à porter leurs fruits, comme le montrent les résultats récents de l’équipe nationale saoudienne, et la participation de l’Arabie Saoudite à la Coupe du Monde en 2018, en 2022 et sa brillante victoire face à l’Argentine.
L’Arabie Saoudite a commencé à investir massivement dans le football dans les années 2000, en créant des centres de formation pour les jeunes joueurs et en recrutant des entraîneurs célèbres pour diriger ses équipes. Des joueurs étrangers ont également été invités à jouer dans le championnat saoudien, apportant un niveau de compétition plus élevé et une plus grande visibilité.
C’est ainsi que l’an dernier, la superstar portugaise Cristiano Ronaldo a rejoint le championnat saoudien pour un salaire record de 200 millions de dollars par an.
Grâce à ces investissements, l’équipe nationale saoudienne a connu une progression régulière depuis les années 2000. En 2007, l’Arabie Saoudite a remporté la Coupe d’Asie de l’Ouest, son premier titre international depuis 1996. En 2015, elle a remporté la Coupe du Golfe pour la première fois depuis 2003.
Mais c’est en 2018 que l’Arabie Saoudite a vraiment fait sensation dans le monde du football, en se qualifiant pour la Coupe du Monde pour la première fois depuis 2006. Si elle n’a pas réussi à se qualifier pour les huitièmes de finale, l’équipe nationale saoudienne a réussi à marquer deux buts dans la compétition, et a montré un jeu solide et combattif.
L’Arabie Saoudite continue d’investir massivement dans le football, en espérant que cela lui permettra de devenir une puissance dans le monde du football. Le pays a récemment remporté le droit d’organiser la Supercoupe d’Italie en 2019 et la Supercoupe d’Espagne en 2020 et 2022, signe que les investissements dans le football saoudien sont en train de porter leurs fruits.
Récemment, l’on apprenait encore que plusieurs joueurs tels que Messi ou encore Karim Benzema pourrait rejoindre le championnat saoudien.
L'Arabie Saoudite propose à Karim Benzema :
— Actu Foot (@ActuFoot_) May 30, 2023
▪️ Un salaire de 100 M€ / an net d'impôt
▪️ 100% de ses droits à l'image
▪️ Le choix de son équipe dans le championnat
▪️ Le choix de sa résidence privée
KB9 aurait également un rôle d'ambassadeur pour la CDM 2030.
(@elmundoes) pic.twitter.com/PqM36jFUuz
L’Arabie Saoudite est en train de devenir une puissance émergente dans le monde du football. Tout comme la Chine il y a quelques années, le pays est en train de devenir une véritable puissance dans le monde du football, grâce à d’importants investissements consentis, rendant ainsi son championnat plus attractif.
Vues : 489 Pep Guardiola est l’un des entraîneurs les plus influents de l’histoire moderne du football. Son approche innovante et son style offensif ont changé la façon dont le football est joué et ont inspiré toute une génération d’entraîneurs à travers le monde. Il […]
Pep Guardiola est l’un des entraîneurs les plus influents de l’histoire moderne du football. Son approche innovante et son style offensif ont changé la façon dont le football est joué et ont inspiré toute une génération d’entraîneurs à travers le monde.
Il commence sa carrière de joueur professionnel en tant que milieu de terrain au FC Barcelone, où il représente son club pendant plus de dix ans et remportera de nombreux titres nationaux et internationaux.
Cependant, c’est en tant qu’entraîneur que Guardiola s’est distingué, en remportant de nombreux trophées et en inspirant une nouvelle génération de joueurs par son approche innovante et son style de jeu offensif. Sa carrière d’entraîneur débute en 2007 au FC Barcelone, où il a remporté un total de 14 titres en quatre ans, dont deux Ligues des champions. Il a également mené l’équipe à un triplé historique (Liga, Coupe du Roi et Ligue des champions) en 2009.
Après avoir quitté le Barça en 2012, Guardiola s’est vu confier la gestion du Bayern Munich en Allemagne. Avec les Bavarois, il a remporté trois titres consécutifs de Bundesliga, mais n’a pas réussi à amener l’équipe à une victoire en Ligue des champions.
Guardiola a ensuite rejoint Manchester City en 2016, où il a continué à bousculer les idées reçues et à chercher à innover dans le football moderne. Ses équipes sont souvent reconnues pour leur style de jeu offensif et leur utilisation intensive de la possession de balle. Avec City, il a remporté deux titres de Premier League dès ses deux premières saisons avec le club. Il s’agit de la première fois que Manchester City remporte le trophée deux années consécutives. À ce jour, il a glané 5 titres de champion d’Angleterre en 6 ans et il reste que un 3ème titre consécutif.
La méthode de travail de Guardiola consiste à utiliser la possession de balle pour créer des opportunités d’attaque. Ses équipes s’appuient sur une pression constante sur les adversaires, en utilisant le jeu en triangle pour conserver la balle dans le camp adverse. En même temps, il encourage les joueurs à être créatifs sur le terrain et à prendre des risques, en faisant confiance à leur jugement pour prendre les bonnes décisions sur le terrain. Guardiola est également connu pour sa capacité à former des joueurs polyvalents capables d’occuper différents rôles selon les besoins de l’équipe. Le joueur de Manchester City, Fabian Delph, est un exemple de cela. Delph, qui était milieu de terrain avant de rejoindre Man City, a été transformé en défenseur latéral par Guardiola. Delph a su s’adapter à ce nouveau rôle et est devenu un joueur clé dans l’équipe de City.
S’il est constamment critiqué pour ne plus avoir gagné une Ligue des champions depuis son passage au FC Barcelone, il n’en demeure pas moins que Guardiola demeure l’homme qui a influencé le football moderne plus que tout autre coach. Par ailleurs il aura l’occasion de briser cette malédiction le 10 juin prochain en finale face à l’Inter Milan.
En à peine 15 ans de coaching, il est déjà le 2ème entraîneur le plus titré de tous les temps et il est bien parti pour ravir la place à Alex Ferguson.
Son approche a inspiré toute une génération d’entraîneurs à travers le monde, et il est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs entraîneurs de l’histoire du football.
Vues : 129 Deux grands tournois ont suivi l’exemple d’Indian Wells et de Miami, pour prendre plus de place dans le calendrier et accueillir plus de joueurs. Très critiqué, le nouveau système est loin de plaire à tout le monde et alors que le tournoi […]
Deux grands tournois ont suivi l’exemple d’Indian Wells et de Miami, pour prendre plus de place dans le calendrier et accueillir plus de joueurs. Très critiqué, le nouveau système est loin de plaire à tout le monde et alors que le tournoi de Rome vient de s’achever, un premier bilan peut être dressé. Entre décalage un peu difficile à suivre et inégalités entre les joueurs, il est loin d’être très positif. En plus d’occuper un mois entier puisqu’ils s’enchaînent, Madrid et Rome empêchent donc la tenue de tournois ATP ou WTA 250 pendant la période, ce qui permettrait à des joueurs plus modestes d’évoluer sur le grand circuit avant Roland-Garros.
De plus, les tournois du circuit secondaire sont forcément un peu mieux fournis car l’attente est longue si on est éliminé d’entrée et on peut décider de jouer en Challenger pendant la deuxième semaine de Madrid ou Rome au dernier moment, prenant peut-être la place d’un joueur classé au-delà de la 200ème place. En bref, mieux vaut être bon et réussir à enchaîner les victoires.
D’après les déclarations d’Ons Jabeur, 7ème mondiale et finaliste à Wimbledon et à l’US Open l’année dernière, beaucoup de joueuses ne seraient pas du tout convaincues par ce nouveau format :
« Je ne suis pas une grande fan. Je préfère que les tournois restent les mêmes. C’est probablement bon pour le repos, mais je ne pense pas que ce soit bon pour nous tous, ni pour les journalistes. Je ne sais pas ce qui va se passer. Je pense que beaucoup de joueurs en parlent. Je pense qu’il est préférable de faire la lumière sur les faits et d’en parler davantage à la WTA. Mais je peux affirmer que 90 % des joueuses ne sont pas d’accord » a-t-elle confié.
Avec un démarrage le mardi ou le mercredi voire jusqu’au samedi pour certaines têtes de série, il y a de quoi se perdre. La programmation a d’ailleurs fait débat à Madrid et surtout, certains courts sont complètement vides. C’est flagrant à Rome ces derniers jours pour le début du tournoi puisque les affiches ne font pas toujours sauter au plafond, les meilleurs joueurs n’entrant dans le tournoi qu’à partir du deuxième tour.En bref, il y a beaucoup mieux à faire.
Vues : 1 478 Deux grands tournois ont suivi l’exemple d’Indian Wells et de Miami pour prendre plus de place dans le calendrier et accueillir plus de joueurs. Très critiqué, le nouveau système est loin de plaire à tout le monde et alors que le tournoi […]
Deux grands tournois ont suivi l’exemple d’Indian Wells et de Miami pour prendre plus de place dans le calendrier et accueillir plus de joueurs. Très critiqué, le nouveau système est loin de plaire à tout le monde et alors que le tournoi de Rome vient de s’achever, un premier bilan peut être dressé. Entre décalage un peu difficile à suivre et inégalités entre les joueurs, il est loin d’être très positif.
• En plus d’occuper un mois entier puisqu’ils s’enchaînent, Madrid et Rome empêchent donc la tenue de tournois ATP ou WTA 250, ce qui aurait permis à des joueurs plus modestes d’évoluer sur le grand circuit avant Roland-Garros. De plus, les tournois du circuit secondaire sont forcément un peu mieux fournis car l’attente est longue si on est éliminé d’entrée et on peut décider de jouer en Challenger pendant la deuxième semaine de Madrid ou Rome au dernier moment, prenant peut-être la place d’un joueur classé au-delà de la 200ème place. Bref, il vaudrait mieux être bon et réussir à enchaîner les victoires.
• D’après les déclarations d’Ons Jabeur, N° 7ème mondiale, finaliste à Wimbledon et à l’US Open l’année dernière, beaucoup de joueuses ne seraient pas du tout convaincues par ce nouveau format. « Je ne suis pas une grande fan. Je préfère que les tournois restent les mêmes. C’est probablement bon pour le repos, mais je ne pense pas que ce soit bon pour nous tous, ni pour les journalistes. Je ne sais pas ce qui va se passer. Je pense que beaucoup de joueurs en parlent. Je pense qu’il est préférable de faire la lumière sur les faits et d’en parler davantage à la WTA. Mais je peux affirmer que 90% des joueuses ne sont pas d’accord » a-t-elle confié.
• Avec un démarrage le mardi ou le mercredi voire jusqu’au samedi pour certaines têtes de série, il y a de quoi se perdre. La programmation a d’ailleurs fait débat à Madrid, avec certains courts qui étaient complètement vides. C’est flagrant à Rome ces derniers jours pour le début du tournoi puisque les affiches ne font toujours pas sauter au plafond. Les meilleurs joueurs n’entrant dans le tournoi qu’à partir du deuxième tour.
Le public a sûrement beaucoup mieux à faire.
Vues : 6 207 « Ça fait quelques semaines qu’on me le rappelle. Mon âge (62 ans), on évite, mais cet événement a tellement compté pour moi et pour les amateurs de tennis… À l’époque, ça avait résonné. Je croise encore des gens qui me le rappellent […]
« Ça fait quelques semaines qu’on me le rappelle. Mon âge (62 ans), on évite, mais cet événement a tellement compté pour moi et pour les amateurs de tennis… À l’époque, ça avait résonné. Je croise encore des gens qui me le rappellent et ça me surprend toujours. Pour certains, cela dure quelques secondes, mais ça représente beaucoup. Fêter cette victoire à Roland-Garros, c’est chouette.
Quelques années après mon titre , les souvenirs étaient très présents. Avec le temps, ce sont des images qui restent. On a tous pris un coup de vieux ! (Il réfléchit) Il reste l’émotion. C’est très chic d’avoir l’un des plus beaux moments de ta vie en film. C’est très difficile de réécrire l’histoire, mais c’était le rêve de ma jeunesse. Il a motivé mon adolescence, c’était un objectif impossible. En tant que cadet, le rêve, c’était déjà de jouer à Roland-Garros, mais alors de gagner le tournoi… J’ai de la gratitude d’avoir atteint ce graal.
Il y a des joueurs qui ne sont pas passés loin. Guy Forget, Henri Leconte qui a fait une finale (Roland-Garros), Cédric Pioline qui en a fait deux (Wimbledon et US Open). Je ne pensais pas que 40 ans après, ça serait toujours le cas.
Je regarde de moins en moins le tennis . Je suivais quand j’étais capitaine. Quand il y a un joueur français qui assure, je commence à vibrer, mais le tennis aujourd’hui pour moi est surtout social et associatif.
Vues : 188 Des stades pleins à craquer, un niveau de jeu meilleur que l’année dernière, une forte mobilisation médiatique, sont autant d’éléments qui ont conduit les amoureux du ballon rond à la conclusion suivant : ce FINAL 4 de la MTN ELITE ONE 2023 […]
Des stades pleins à craquer, un niveau de jeu meilleur que l’année dernière, une forte mobilisation médiatique, sont autant d’éléments qui ont conduit les amoureux du ballon rond à la conclusion suivant : ce FINAL 4 de la MTN ELITE ONE 2023 a été une réussite.
Un succès populaire qui nous rappelle les grandes heures du football camerounais d’une autre époque pour une UNE SAISON PAS COMME LES AUTRES. La 2ème édition des Play-offs du championnat national de première division masculine sous l’ère Eto’o n’aura pas été de tout repos. Entre l’éternels problème des salaires impayés des joueurs, et les violences dans les stades en passant par une pauvre qualité du jeu, l’exécutif de la fédération aura eu fort à faire cette saison pour satisfaire son excellente audience, avec en prime une fin de saison régulière tendue (réclamations d’AVION FC du NKAM et UMS de LOUM).
Alors que beaucoup prédisait un échec des play-offs de cette année, sous l’égide du changement de formule, c’est avec stupeur qu’ils constateront la bonne tenue de cette édition. Une très bonne communication et organisation de la part de la FECAFOOT, des Stades pleins à craquer, avec plus de 25000 spectateurs en moyenne au stade de la réunification de douala pour une affluence record de 31695 spectateurs (inédit pour cette enceinte).
Du très beau spectacle sur les pelouses et dans les gradins. Mentions honorables à tous les fans de football ayant suivi le FINAL 4 et en particulier aux fans de BAMBOUTOS de MBOUDA toujours présent et toujours plus nombreux. Avec en point d’ogre le nouveau sacre de COTON SPORT de GAROUA, son 18e titre. Avec en prime un record obtenu au bout d’un tournois final complétement maitrisé pour un bilan de 3 Matchs et 3 victoires le tout sans encaisser le moindre but.
LES PERSPECTIVES AVENIRS
Quand on voit le déroulement des play-offs des deux dernières saisons de la MTN ELITE ONE, la phrase : « Redonner au football camerounais toute sa grandeur » prend forme peu à peu. Cependant, au vu de la saison régulière, on est en droit de penser que les play-offs sont l’arbre qui cache la forêt. En effet, au courant de la saison régulière nous avons eu droit à un championnat d’un niveau qui laisse fort à désirer. Afin de pallier progressivement à ce déficit qualitatif, la FECAFOOT a fixé de nouvelles conditions pour être éligible au rang de club de football d’Elite du Cameroun. Dorénavant tous les clubs d’élite devront avoir un centre de formation comprenant toutes les catégories jeunes et une équipe féminine : L’objectif ici est clairement de développer le football jeune et football féminin afin d’avoir des championnats de qualités dans un futur proches et aussi de polir, parfaire et exploiter le vivier de talent présent au Cameroun. Un meilleur accompagnement financier serait également au rendez-vous la saison prochaine, de quoi booster les acteurs du football national à aller de l’avant.
Le championnat terminé, les clubs se préparent pour la Coupe du Cameroun, tandis que la fédération continu son travail de refonte, pour la renaissance du football camerounais.