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Convoité depuis de longues années par le manager sélectionneur des Lions Indomptables du Cameroun, Sasha Boey a finalement choisi l’équipe de France au détriment de son pays d’origine .Après les arrivés de binationaux tels Bryan Mbeumo, Jean Charles Castelleto, ou encore Malcom Bokele, beaucoup de camerounais espéraient voir le natif du pays de Samuel Etoo revêtir le maillot le plus prestigieux de l’histoire du football Africain .
Une décision qui a déçu plus d’un quand on connaît les efforts fournis par le staff des Lions Indomptables et notamment l’illustre manager sélectionneur qui s’est déplacé pour le rencontrer en personne .Le concerné est sorti de son silence et a expliqué son choix
Jouer pour le Cameroun, juste parce que tu ne peux pas rêver de jouer pour la France par exemple, ce n’est pas ce que je veux. Il faut aimer le maillot pour donner le meilleur. Un binational qui choisit son pays d’origine, parce qu’il a grandi avec le culture, c’est normal. Il va vivre des émotions folles. Pour moi, ça n’aurait pas été le cas avec le Cameroun.
[via SoFoot.com]
Vues : 1 174 Il ne se passe plus un jour sans qu’il n’y ait du mouvement dans la sphère footballistique camerounaise. Entre scandales, démission, procédure judiciaire, etc, La tour de Tsinga subit une avalanche d’attaques depuis quelques temps. Déjà en froid avec son ministère de […]
Il ne se passe plus un jour sans qu’il n’y ait du mouvement dans la sphère footballistique camerounaise. Entre scandales, démission, procédure judiciaire, etc, La tour de Tsinga subit une avalanche d’attaques depuis quelques temps.
Déjà en froid avec son ministère de tutelle (MINSEP) depuis des mois, les deux dernières semaines n’auront pas été de tout repos pour Samuel Eto’o et son équipe entre scandale des matchs truqués, éviction de son ex coéquipier Lucien METTOMO du SYNAFOC(le syndicat national des footballeurs camerounais ), multiples procédures encours au TAS, LFPC (ligue de football professionnel du Cameroun), fronde d’une partie des présidents des clubs du Cameroun, démission de certains responsables, etc autant d’événements qui auront fait vaciller le navire Fécafoot ces deux semaines. Que ce soit venant de l’intérieur comme de l’extérieur, la fédération camerounaise de football aura rarement eu à livrer autant de combats en si peu de temps.
Une multitude de combat dont le seul but n’est autre que de contrôler l’argent qui circule dans le Football camerounais ; malheureusement au détriment des principaux acteurs qui sont les joueurs de football. Un climat qui tend à ralentir le vent de professionnalisme prôné par la fédération. Au Cameroun, l’enjeux passe malheureusement avant le jeu.
Vues : 915 Il semblerait que la FECAFOOT ait décidée de prendre le taureau par les cornes, depuis quelques temps il ne se passe plus un jour sans qu’on apprenne des mouvements du côté de la tour de Tsinga. Pour donner écho au célèbre dicton […]
Il semblerait que la FECAFOOT ait décidée de prendre le taureau par les cornes, depuis quelques temps il ne se passe plus un jour sans qu’on apprenne des mouvements du côté de la tour de Tsinga. Pour donner écho au célèbre dicton QUI VEUT ALLER LOIN MENAGE SA MONTURE Samuel ETO’O a commencé à faire le ménage autour de lui.
Alors qu’on attend toujours la suite des enquêtes concernant les matchs truqués dans les championnats nationaux du Cameroun on apprend ce jour que le chargé du développement du football (ex président du club de UNION DE DOUALA) Franck HAPPI ferait l’objet de poursuites par la fédération au motif de surfacturation des Hôtels lors de la saison dernière. Selon certaines sources il aurait inciter les hôtels sélectionnés à augmenter leurs capacités, ainsi que leurs prix et il aurait également pousser ces hôtels à manifester afin de faire pression sur la fédération pour qu’elle solde leurs factures ; factures jugés exagérés par la fédération. Une sacrée trahison quand on connait la proximité d’ETO’O avec le sieur HAPPI.
Si ces faits sont prouvés cela donnera raison au capitaine des lions indomptables ABOUBACAR VINCENT qui disait récemment dans une interview que « Samuel Eto’o avait de bonnes intentions mais qu’il était mal entouré ». La FECAFOOT est donc officiellement entrée en guerre contre tous ceux qui veulent nuire à l’évolution du football local. Affaire à suivre …
Vues : 858 On a coutume de dire que la coupe du Cameroun ne connait pas de favoris; On peut dire c’est que cette édition en est la parfaite illustration. Alors qu’on s’apprête à jouer les quarts de finale de la coupe nationale un constat […]
On a coutume de dire que la coupe du Cameroun ne connait pas de favoris; On peut dire c’est que cette édition en est la parfaite illustration. Alors qu’on s’apprête à jouer les quarts de finale de la coupe nationale un constat s’impose : tous les clubs ayant pris part au dernier FINAL FOUR de la MTN ELITE ONE sont passés à la trappe. Les défaites de Canon de Yaoundé face à Fovu club de Baham 1-1 (6 TAB 7) et de Coton sport de Garoua face à sa bête noire Eding sport de la Lekie (1-2) ce weekend auront marqué la fin de parcours pour tous les clubs ayant pris part au récents Play-offs du championnat ; Au grand dam de leurs supporters. Il y’a de cela quelques jours personne n’aurait imaginer une sortie aussi prématurée de l’ensemble des 4 meilleurs camerounais de la saison. La succession au Cotonniers est donc ouverte et à ce jour personne ne se risquerait à nouveau à pronostiquer avec certitude le vainqueur de cette édition.
Entre les nouveaux loups venus fraichement promu en Elite one (Dynamo de douala, Victoria United), les expérimentés et redoutables équipes d’Elite one (Fovu de Baham, PWD de Bamenda et Eding sport de la Lekie et Colombe du Dja et Lobo) sans oublier le pensionnaire de MTN ELITE TWO (Stade de Bertoua) et le petit poucet encore en lice, pensionnaire de D2 Régional (Stade de Bandjoun) qui succèdera à Coton Sport de Garoua ? au vue des scenarii vécu depuis le début de cette coupe personne ne s’hasarderait à pronostiquer. Le programme étant fraichement sorti il serait plus prudent d’observer le déroulement des Quarts de finale ce weekend du côté de Yaoundé.
Vues : 1 257 Après avoir été éliminé par Novak Djokovic en demie finale de Roland-Garros, notre rédaction s’est penchée vers Carlos Alacraz pour essayer de déceler les raisons de sa défaite. Certes en face il y avait un sacré client, mais par le passé le […]
Après avoir été éliminé par Novak Djokovic en demie finale de Roland-Garros, notre rédaction s’est penchée vers Carlos Alacraz pour essayer de déceler les raisons de sa défaite. Certes en face il y avait un sacré client, mais par le passé le jeune prodige espagnol avait réussi à s’imposer face à lui et son état de forme avant le match lui donnait pas mal de raison de pouvoir récidiver. Après un 1er set dominé par Novak , Alcaraz avait réussi à se transcender dans le 2e set, jouant tout les coups à fond avec une défense au delà de l’imaginaire. Mais derrière une fatigue musculaire s’est faite ressentir à travers des crampes qui ont handicapé le plus jeune numéro 1 mondiale au long du match au profit du monstre serbe qui ne s’est pas fait prier pour enfoncer le couteau dans la plaie.
Sur ce sujet, MATS WILANDER estime que c’est la faille ultime dans le jeu d’ALCARAZ « Peut-être qu’il a besoin d’être moins « actif » sur le terrain. Essayer moins d’aller chercher des balles impossibles et économiser son énergie. Un match de 5 sets est vraiment quelque chose de spéciale . »
Vues : 1 564 Malgré tous leurs efforts samedi dernier, André ONANA et l’Inter de Milan se sont inclinés face aux Anglais de Manchester City. Même si le scenario n’était pas celui que la majorité des observateurs prédisaient, nous pouvons dire que la logique aura été […]
Malgré tous leurs efforts samedi dernier, André ONANA et l’Inter de Milan se sont inclinés face aux Anglais de Manchester City. Même si le scenario n’était pas celui que la majorité des observateurs prédisaient, nous pouvons dire que la logique aura été respectée. Naturellement au lendemain de la finale, l’UEFA publiait son équipe-type de la saison ; et quelle fut grande la surprise de ne pas voir André ONANA aux goals mais plutôt le belge Thibault COURTOIS. Une absence qui fait beaucoup parler. Quelles sont les raisons de ce choix ?
S’il y a bien un gardien qui aurait mérité de figurer dans ce 11 type, c’est certainement André ONANA tellement il a été géant cette saison sur la scène européenne. D’ailleurs les chiffres l’attestent : en 13 matchs de Champion’s League ONANA c’est :(aller à la ligne)Gardien avec le plus d’arrêts décisifs (48) (aller à la ligne)Gardien avec le plus de matchs sans encaisser de but (8) (aller à la ligne)Deuxième pourcentage de passes réussies pour un gardien de la compétition (80%) (aller à la ligne)2 cartons jaunes. (un autre paragraphe)André ONANA a été l’un des facteurs si ce n’est le facteur X de la campagne européenne des Nerrazzuri dont on ne prédisait même pas la qualification au 2nd tour tant leur poule semblait compliquée. Avec autant de statistiques à son avantage, comment comprendre que le portier camerounais ait été injustement snobé au profit du belge COURTOIS ? aller à la ligne)A cette question, seuls les experts de l’UEFA pourront répondre.
Vues : 3 618 À 16 ans seulement, la jeune joueuse américaine d’origine camerounaise est vainqueur en double dans la catégorie juniors du prestigieux tournoi de Paris ( Roland Garros) avec pour partenaire et coéquipière Tyra Caterina Grant .Très talentueuse, clervie fait partir des étoiles montantes […]
À 16 ans seulement, la jeune joueuse américaine d’origine camerounaise est vainqueur en double dans la catégorie juniors du prestigieux tournoi de Paris ( Roland Garros) avec pour partenaire et coéquipière Tyra Caterina Grant .
Très talentueuse, clervie fait partir des étoiles montantes du tennis mondial au féminin.
Vues : 1 723 Alors que les championnats MTN Elite one et two ont rendu leur verdict, et qu’on croyait pouvoir se concentrer sur la coupe du Cameroun et la Guinness super League une affaire vient défrayer la chronique et reléguer au second plan tout se qui […]
Alors que les championnats MTN Elite one et two ont rendu leur verdict, et qu’on croyait pouvoir se concentrer sur la coupe du Cameroun et la Guinness super League une affaire vient défrayer la chronique et reléguer au second plan tout se qui se passe sur les pelouses nationales en ce moment.
Il y a de cela quelques jours lors de la signature de son contrat avec l’entreprise de pari sportif 1xbet Samuel ETO’O (pdt FECAFOOT) promettait de traquer et libérer le football national de la mafia des matchs truqués. Une sortie qui confirmait ainsi les dires de plusieurs personnalités et médias qui avaient déjà fait couler beaucoup d’encre, notamment Donald NGAMENI (pdt Unisport du Haut Nkam), BALAFON RADIO etc. C’est ainsi, il y a de cela quelques jours, on apprenait qu’un vaste réseau de corruption et de trucage des matchs était en train d’être démanteler.
D’après nos informations le dossier d’enquête serait entre les mains de la justice camerounaise et des auditions auraient débutées. Bien que les noms des personnes ne soient pas encore cités, on compterait parmi ces présumés coupables : des présidents de clubs, des joueurs, des arbitres, des salariés de la Fédération, agents de joueurs etc. Des pratiques qui ternissent encore plus l’image du football local. En cas de confirmation des faits les coupables seront passible de peines d’emprisonnement et/ou radiation a vie de la sphère footballistique camerounaise.
Vivement que les auditions et enquêtes portent leurs fruits et que le football camerounais soit débarrassé de ces personnes malhonnêtes qui contribuent à tuer le sport roi au Cameroun.
Vues : 6 370 Un Mercredi 24 mai 2023, le stade Roland-Garros vit au rythme des qualifs. Dans les tribunes, il y a foule. Dans les allées, les ramasseurs de balles, les RG Ballos, tentent de se frayer un chemin, pour rallier leur vaste fief situé sous le court n°9. Véritable fourmilière, à […]
Un Mercredi 24 mai 2023, le stade Roland-Garros vit au rythme des qualifs. Dans les tribunes, il y a foule. Dans les allées, les ramasseurs de balles, les RG Ballos, tentent de se frayer un chemin, pour rallier leur vaste fief situé sous le court n°9. Véritable fourmilière, à l’ambiance façon colonie de vacances, c’est là que nous retrouvons deux d’entre eux. Assise sur sa chaise en fils de résine, Bernadette Djamoni, 11 ans et demi, regarde, d’un air détaché, le match de Lucas Pouille face au Taïwanais Tseng Chun-hsin. Rejoint quelques minutes plus tard par son frère Fladimi Ndoy, 16 ans, revenant tout juste d’une rotation. La sœur et le frère sont originaires du Cameroun. “Pour en arriver là, nous avons dû passer une sélection au Cameroun. Nous étions 40 enfants, nous dit sérieusement Fladimi. Ma sœur est n°1 cadette et moi n°1 juniors au niveau national.
C’est formidable d’être là. De voir les joueurs, l’intensité qu’ils mettent dans les échanges, voir ça en live, c’est si différent.” Joueurs au club France de Yaoundé, le frangin et la frangine font ainsi partie des 280 ramasseurs de balles à officier durant le tournoi. Un contingent qui s’est ouvert depuis quelques années aux étrangers. C’est dans ce contexte que l’arbitre international Éric Tanga à solliciter la Fédération Française de tennis, afin que deux de ses jeunes prennent part au sacre du printemps.
Issus d’une famille nombreuse et modeste, Bernadette et Fladimi, impressionnés à leur arrivée à Paris par le changement climatique et par la taille des immeubles parisiens, sont des enfants de la balle: “Nous avons découvert le tennis à travers notre père qui est coach, explique Bernadette. Lorsque nous étions petits, il nous amenait souvent au club, on regardé comment il jouait avec les membres, et on a pris goût, comme cela.” Biberonnés au tennis dès l’âge de cinq ans, le tennis est aujourd’hui pour eux un moyen de s’en sortir. Sans misérabilisme, mais avec dignité, les deux gamins de Yaoundé sentent “le sentiment de responsabilité” qu’ils nourrissent envers les huit heures d’entraînement hebdomadaires en plus de leurs études. Sans oublier le dévouement de leur père, qui à la débrouille, parvient à subvenir à leur besoin. Leur rêve, est de devenir joueurs professionnels, afin d’élever toute la famille à un autre rang social. Avant de s’envoler pour Paris, Bernadette Djamoni et Fladimi, ont eu la belle expérience de rencontrer au Cameroun un certain Yannick Noah. “Il nous a dit de nous amuser, de profiter, de bien se concentrer de se faire des amis” dixit Bernadette de sa placide voix. Mais à court terme, les deux ramasseurs de balles aimeraient bien officier lors de ma finale du simple Messieurs. Pour y parvenir, il faudra se classer parmi les meilleurs ramasseurs du tournoi. « La compétition, nous sommes habitués à cela », nous rétorque Fladimi. Les fameux RG Ballos sont notés quotidiennement par des superviseurs où l’agilité, le bon respect des règles ou encore l’anticipation est pris en compte. “Les jeunes apprennent ici de nombreuses valeurs comme l’exigence, l’entraide, l’autonomie, nous précise l’un des superviseurs officiant aux bords des courts. C’est fréquent que des parents nous envoient des messages à la fin du tournoi pour nous dire qu’ils trouvaient leur enfant changé.” Changés, Bernadette et Fladimi le sont déjà.
Une expérience qui viendra sans nul doute nourrir leur ambition commune, celle d’emprunter l’ascenseur social proposé par le tennis et de se retrouver, peut-être, d’ici quelques années, à nouveau sur les terrains de Roland-Garros, mais cette fois, raquette en main pour devenir qui sait les futurs Yannick NOAH.
Vues : 3 320 Les échecs se suivent et se ressemblent, les discours aussi. Nicolas Escudé n’a pas dérogé à la tradition .le directeur technique national (DTN) a fait le bilan de la quinzaine des Français, ou plutôt de la première semaine ces trois dernières années. […]
Les échecs se suivent et se ressemblent, les discours aussi. Nicolas Escudé n’a pas dérogé à la tradition .le directeur technique national (DTN) a fait le bilan de la quinzaine des Français, ou plutôt de la première semaine ces trois dernières années. Le tennis français avance à reculons. Après avoir grondé de ne pas voir un successeur à Yannick Noah, le public se réjouirait désormais d’en voir un en deuxième semaine. Le dernier en date, c’est Hugo Gaston, improbable huitième de finaliste en 2020. Depuis, les Bleus ont plongé dans l’anonymat : quatre au troisième tour en 2022, et aucun au deuxième tour en 2021 et 2023, le pire bilan de l’ère Open (1968). Alors à qui la faute ?
« On ne peut pas rendre la Fédération coupable de tout. Les premiers responsables, et malheureux, sont les joueurs », pointe d’entrée Nicolas Escudé, glissant à demi-mot que la FFT ne se dédouanait pas totalement. Mais le choix des mots n’est pas anodin et concorde avec ceux de son président Gilles Moretton. « La réussite est un projet individuel », soulignait-il, jeudi matin, lors d’une rencontre avec la presse régionale dont « Sud Ouest ». « Je prends l’exemple de Yannick Noah à Nice. S’il est arrivé là où il est arrivé, c’est que le soir au tennis-études, il allait faire une heure de service tout seul. Moi je m’entraînais comme on me demandait mais lui avait décidé d’être un champion. C’est une question de mentalité », renchérissait l’ex-65e joueur mondial.