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On a coutume de dire que la coupe du Cameroun ne connait pas de favoris; On peut dire c’est que cette édition en est la parfaite illustration. Alors qu’on s’apprête à jouer les quarts de finale de la coupe nationale un constat s’impose : tous […]
Après avoir été éliminé par Novak Djokovic en demie finale de Roland-Garros, notre rédaction s’est penchée vers Carlos Alacraz pour essayer de déceler les raisons de sa défaite. Certes en face il y avait un sacré client, mais par le passé le jeune prodige espagnol […]
Vues : 4 749 Moins de 3 heures après la victoire des Lions indomptables du Cameroun sur les Hirondelles du Burundi à Dar Es Salam (Tanzanie) sur le score de 0-1, grâce à un coup franc direct de Karl TOKO EKAMBI, une vidéo fait parler. Match […]
Moins de 3 heures après la victoire des Lions indomptables du Cameroun sur les Hirondelles du Burundi à Dar Es Salam (Tanzanie) sur le score de 0-1, grâce à un coup franc direct de Karl TOKO EKAMBI, une vidéo fait parler. Match comptant pour les qualifications à la CAN 2023 en Côte d’Ivoire.
Devenue virale, on peut voir dans cette vidéo, le Président de la FECAFOOT Samuel ETO’O très remonté à cause de la prestation livrée par les Lions. Au-delà du coup de colère de Samuel, l’attitude du Manager-sélectionneur national Rigobert SONG et de son staff interroge plus d’un et soulève quelques questions à quelques mois du Mondial QATAR 2022.
Comment comprendre la colère d’ETO’O ? A-t-il le droit et/ou la légitimité d’entrer dans la tanière et de faire des remontrances aux joueurs ? Que présage l’avenir dans la tanière ?
Il y’a quelques mois déjà, lors d’une interview pendant la CAN TotalEnergies 2022, le capitaine Aboubacar VINCENT dénonçait déjà la suffisance et le manque de sérieux dont faisaient montre les Lions durant certains matchs. Le monde du football camerounais lui tombait dessus.
Deux mois plus tard et après deux matchs (match contre une sélection locale et match de qualifications pour la CAN TotalEnergies 2023), le constat est le même et les faits semblent lui donner raison.
Excusés lors du match face aux locaux car on se disait que la piètre performance était dûe au fait que la majorité des joueurs alignés n’avaient presque jamais joué ensemble, le match contre le Burundi est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, non seulement chez les Camerounais, mais surtout chez Samuel ETO’O.
À la fin du match, il est monté au créneau et a littéralement grondé les Lions en leur rappelant que : « les places pour le Qatar vont se vendre chères ». Une sortie d’une rare virulence qui interroge et divise.
Avait-il le droit de faire cette sortie et était-ce la bonne méthode surtout devant un staff resté pantois ? Autant de questions fusent dans les esprits. Ce qu’il faut savoir c’est qu’aucun texte de la fédération n’interdit au Président de la fédération de tutelle de s’introduire dans les vestiaires et prendre la parole. S’il est récurrent de voir ça ailleurs, ce n’est pas toujours forcément diffusé.
Bien plus que le discours, ce qui choque aussi c’est l’attitude du staff durant la scène. L’ensemble de l’opinion nationale est d’accord que les Lions Indomptables « font preuve de désinvolture et qu’il faudrait un peu leur tirer les oreilles » (pour reprendre une expression chère au pays), mais était-ce la bonne méthode qu’a employée le président de la FECAFOOT ? N’a t-il pas ainsi fragilisé l’autorité du sélectionneur ? Seul l’avenir nous le dira.
Toujours est-il qu’il est plus qu’urgent que les choses changent. Au cas contraire, ils s’exposent tous à des changements et des licenciements.
De toutes les façons avec Samuel ETO’O à la tête de FECAFOOT personne n’est à l’abri d’une surprise.
By NKIE SIMPLICE
Vues : 2 493 Touché au pied gauche par le syndrome de Müller-Weiss, Rafael Nadal a admis en marge de sa 14e victoire à Roland-Garros qu’il avait reçu des injections durant la quinzaine parisienne. Si elles prêtent à polémique, ces infiltrations sont réglementaires Rafael Nadal : […]
Touché au pied gauche par le syndrome de Müller-Weiss, Rafael Nadal a admis en marge de sa 14e
victoire à Roland-Garros qu’il avait reçu des injections durant la quinzaine parisienne. Si elles
prêtent à polémique, ces infiltrations sont réglementaires
Rafael Nadal : « Le moment le plus difficile a été après le deuxième match contre Corentin Moutet. Je suis arrivé à l’hôtel et je ne pouvais pratiquement plus marcher. J’ai eu la chance d’être accompagné de mon médecin ici (Angel Ruiz-Cotorro). On a fait une injection au niveau des nerfs pour couper la douleur au pied. Donc, je n’avais plus aucune sensation, comme des dents endormies par le dentiste.
Je ne vous dirai pas combien d’infiltrations j’ai dû faire en deux semaines, mais c’était plusieurs avant chaque match. »
A-t-il tout de même bien fait ? Pour lui, mais aussi pour ses adversaires, qui peuvent légitimement se
dire que l’Espagnol n’aurait pas pu disputer le tournoi sans l’intervention de son médecin.
Hier, Nadal n’a pas dit s’il avait dû obtenir une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT) pour jouer le tournoi.
Sur le sujet, Jean-Pierre de Mondenard pourfendeur de cette pratique assimile cela au dopage ; «Les infiltrations autorisées au tennis, c’est du dopage sportif. Dans le tennis, on parle ouvertement d’infiltrations. Il a deux types de traitement qui sont réalisés. L’injection d’anesthésiant pour endormir le mal et l’injection de cortisone pour réduire l’inflammation. Dans certains cas, on fait même des injections en mélangeant les deux, ce qui n’a rien à voir avec l’éthique. Car la règle que l’on doit normalement suivre, c’est soigner et guérir. Dans le cas des infiltrations, on aggrave la blessure. Ce qui est un non-sens!»
«Les infiltrations dans le tennis sont apparues dans les années 70 », raconte-t-il.
On peut prendre l’exemple de Björn Borg. Lors du tournoi de Wimbledon, il s’était fait une blessure aux abdominaux lors d’un service. Eh bien, durant tout le tournoi, qu’il va d’ailleurs remporter, on lui faisait des injections quotidiennes. Ce qui a eu des répercussions dramatiques par la suite.Comme pour Stan Wawrinka qui durant deux ans a subi des infiltrations. On a dû l’opérer une
première fois, mais l’opération a échoué, car la partie de son corps blessée avait subi trop
d’anesthésiants dans le passé. Son calvaire a quand même duré trois longues années. Il ne faut pas oublier que Rafael Nadal, qui a dû arrêter à plusieurs reprises sa carrière à cause des blessures et, surtout, comment il les avait endormies et non véritablement soignées.»
«C’est quand même incroyable que l’on autorise les athlètes à se piquer juste pour retourner au jeu. C’est contraire à toute éthique! Le jeune Espagnol Carlos Alcaraz devrait savoir que l’anesthésiant endort les capteurs, mais en continuant à jouer, se sont aussi d’autres membres qu’il va blesser et aggraver, jusqu’à l’irrémédiable.
Il n’a jamais caché avoir subi des infiltrations lors du tournoi de Madrid. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a sans doute fait l’impasse sur celui de Rome. Mais ce n’est pas en s’imposant des injections à répétition qu’il va soigner son
corps.»
«Je me souviens de ces duels épiques entre le cycliste français Cyrille Guimard et le Belge Eddy Merckx », ajoute Jean-Pierre De Mondenard. « Pour soutenir le rythme infernal imposé par le Belge, Cyrille
recevait des infiltrations quotidiennes. À deux jours de l’arrivée, il tenait à peine sur ses jambes, il fallait vélo !Il a dit à la fin de sa carrière que c’était la pire des choses qu’il avait faites, car il avait hypothéqué des parties de son corps pour le reste de sa vie. Le jeune Alcaraz devrait y penser à deux fois.»
Jean-Pierre de Mondenard en appelle au bon sens et, surtout, au respect de l’éthique.
« Lorsqu’on utilise des infiltrations, on expose le corps à se blesser davantage. Ce n’est pas de la médecine ça! Je le répète, on transgresse le serment d’Hippocrate, mais au nom de quoi, la victoire ? Quelle victoire?» conclut-il.
Alors, dopage ou pas ? La suite nous en dira plus.
Par Erwan Fongan Kom
Vues : 4 167 NBA : PLAY-OFFS TIME THE FINALS Début de match très intense, pas le temps pour les politesses. Très bonne adresse (4/8 GSW) (5/9 BOS) des deux équipes qui vont se rendre coup sur coup derrière l’arc. Tatum (13pts 2asts) et Brown (13pts […]
NBA : PLAY-OFFS TIME THE FINALS
Début de match très intense, pas le temps pour les politesses. Très bonne adresse (4/8 GSW) (5/9 BOS) des deux équipes qui vont se rendre coup sur coup derrière l’arc. Tatum (13pts 2asts) et Brown (13pts 4rebs) vont porter Boston en attaque, mais trop de pertes de balles (7 TO) vont permettre à des Warriors plus réalistes et bien menés par Curry (10pts 3asts) de prendre l’avance au terme du 1e QT (31_30).
Au 2e QT, on retrouve des Warriors bien présents sous la raquette de Boston à l’instar de Bjelica (4pts) ou encore Wiggins (5pts), mais beaucoup moins Curry (5pts). Et pourtant, au bout de l’effort c’est Golden State qui aura toujours l’avance (52-50), avant de rejoindre les vestiaires malgré une bonne adresse de Boston et un Tatum (21pts 5rebs 3asts) (5/7 3PM) en feu. Tout le contraire de Smart (2pts 2rebs 2asts) .
3e QT complètement désastreux des Celtics avec 6pts inscrits dans le 7 premières minutes et 14 rebonds pour les Warriors. Les Warriors ne sont sans doute pas la meilleur équipe des play-offs en 3e QT pour rien et vont le démontrer par l’entremise d’un très grand chef Curry (29pts 6rebs 6asts) (13pts 3e QT) avant que Poole (9pts) sur un shoot complètement dingue au buzzer quasiment sur la ligne médiane ne donne 23pts d’avance aux Warriors.
Le 4e QT avait simplement l’air d’une formalité tant le match semblait déjà plié. Il le sera encore plus quand le coach Udoka à 5mins30 de la fin va retirer ses joueurs titulaires. Quelques secondes juste après Poole (13pts) va dégainer encore derrière l’arc et cette fois donner 25pts d’avance aux Warriors (100-75).
By Manuel OLOUMOU
Vues : 2 499 Attaquant puissant des années 1960-1970, JOSEPH YEBGA MAYA dit ZE est né le 8 avril 1944 dans le village d’OTELE au CAMEROUN. Après une enfance ordinaire , encore élève il se passionne pour le Football. C’est ainsi qu’il s’engage avec un club […]
Attaquant puissant des années 1960-1970, JOSEPH YEBGA MAYA dit ZE est né le 8 avril 1944 dans le village d’OTELE au CAMEROUN.
Après une enfance ordinaire , encore élève il se passionne pour le Football. C’est ainsi qu’il s’engage avec un club amateur de la capitale du Cameroun Dragon de Yaoundé a l’âge de 14 ans. Il y fera ses classes durant 2 ans.
EXODE VERS l’Europe
A l’âge de 16 ans Joseph s’envole pour le sud de la France , plus précisément la ville de Marseille en terre Phocéenne pour y rejoindre son père.
Arrivé à Marseille Joseph travaille plutôt comme mécanicien de la Société Nationale des Chemins de Fer de France (SNCF) avec son père et son frère. Bien qu’étant mécanicien Joseph caresse toujours son reve d’être footballeur professionnel et pour meubler ses soirées et garder la forme il s’engage avec le club amateur de GALLIA CHUTES-LAVIE (1960). Deux saisons en amateur il est repéré par le club phare de la ville l’Olympique de Marseille en 1962 , il devient a l’âge de 18 ans le premier camerounais a signé au club .
UNE ADAPTATION DIFFICILE
Joseph le petit nouveau peine à s’intégrer dans l’effectif phocéen , car étant jeune , inexpérimenté mais surtout barré par les clichés de l’époque sur les joueurs noirs venus d’Afrique qui seraient moins technique et moins intelligent que les joueurs venus d’Amérique , d’Asie ou formés en Europe. Sa première saison a l’OM n’est pas fameuse pour lui (il ne jouera que 4 matchs toutes compétitions confondues pour 2 buts) et l’OM est relégué en Deuxième division française D2.
LA D2 COMME TREMPLIN
Relégué en D2 française l’Olympique de Marseille voit ses meilleurs éléments partir , ce qui sera une aubaine pour le natif d’OTELE.
La saison 1963-64 offre a Joseph plus de perspectives, il jouera beaucoup plus cette saison que durant la précédente soit 18 matchs toutes compétitions confondues pour 4 buts . L’essentiel est ailleurs: YEBGA MAYA prend ses marques et gagne sa place de titulaire au fil des matchs , au bout de cette saison il honorera sa premiere sélection sous la tunique vert-rouje-jaune.
Après trois saisons passées en D2 française pour un bilan élogieux de 24 buts inscrits en 69 matchs de championnat l’Olympique de Marseille remonte en Première division française (D1).
LA CONFIRMATION
De retour dans l’élite française lors de la saison 1966-67 et fort de son statut de titulaire indiscutable JOSEPH YEBGA MAYA empile les buts , soit la bagatelle de 15 buts en 32 matchs de championnat ( 0,47/match) a tout juste 23 ans.
Son apogée avec l’Olympique de Marseille sera lors des saisons 1968-69 ( vainqueur de la coupe de France avec 21 buts en 32 match de championnat) , 1969-70 ( Vice champion de France avec 24 buts en 28 matchs de championnat) .
Après huit saisons passées à l’Olympique de Marseille en 1970 JOSEPH YEBGA MAYA le club et s’engage avec le valenciennes AC .il y jouera trois saisons navigant entre la D1 et la D2 française mais il ne connaîtra plus le même niveau qu’à Marseille . Après cet épisode Valenciennois il jouera également par la suite pour le racing club de Strasbourg (une saison et demie ) et terminera sa carrière a l’âge de 32 ans a Bézier .
L’ÉQUIPE NATIONALE
Malgré son départ précoce de la terre de ses ancêtres »ze » de son surnom gardera intact son amour pour sa patrie , c’est ainsi qu’il répondra volontier à l’appel du vert-rouje-jaune au terme de sa deuxième saison marseillaise en 1964 a tout juste 20 ans et jouera pour le Cameroun durant 12 longues années (10 buts en 25 matchs ).
Il sera notamment dans l’équipe du Cameroun constituée des légendes comme Jean Pierre TOKOTO, Samuel MBAPPE LEPPE , MBETTE Isaac »le sorcier » , Jean MANGA ONGUENE entre autres qui participera à la CAN 1970 au Soudan ( Éliminé aux demies finales ).
Après 16 ans de carrière au haut niveau et a l’âge de 32 ans JOSEPH YEBGA MAYA prend sa retraite en 1976 laissant ainsi un héritage aux générations futures .
Encore cité aujourd’hui parmis les meilleurs buteurs de l’histoire de l’Olympique de Marseille (5e avec 113 buts en championnat ) JOSEPH est tombé peu à peu dans l’oubli du temps dans son Cameroun natal.
By NKIE Simplice
Vues : 2 516 Présenté par la presse comme un futur grand et confirmé par ses prestations stratosphériques d’années en années, Kylian MBAPPÉ s’est imposé comme le plus grand de sa génération. Arrivé dans le club de la capitale il y a 5 ans, le crack […]
Présenté par la presse comme un futur grand et confirmé par ses prestations stratosphériques d’années en années, Kylian MBAPPÉ s’est imposé comme le plus grand de sa génération. Arrivé dans le club de la capitale il y a 5 ans, le crack de Bondy s’est mis tout le monde dans la poche avec des prestations plus que convaincantes.
Sauf que, malgré une quasi-suprématie en LIGUE 1 UBER EAT et dans les coupes nationales notamment la coupe de la ligue et la coupe de France, les échecs répétitifs en Champions League, notamment 2014 face à Chelsea, 2017 et la remontada historique encaissée face au FC Barcelone ; l’élimination en 2019 face à Manchester United ou encore en 2021 face à Manchester City viendront considérablement assombrir le tableau et nourrir des envies de départ. Faisant tout pour maintenir son meilleur joueur, les Qataris ont ramené MESSI en plus de NEYMAR. Mais cette dynamique n’a visiblement pas atténué les envies de départ du joueur. En témoigne les nombreux refus de prolonger du joueur.
Club de ses rêves et Courtisé depuis des années par ce dernier, le Réal de Madrid sera sauf grosse surprise la prochaine destination de la star parisienne. Selon le média Madrilène AS, Delphine Verheyden l’avocate du joueur aurait signé les premiers documents avec les dirigeants du club espagnol et le joueur aurait un accord de principe pour une arrivée en agent libre. L’élimination du club parisien en 8ème de final de la Champions League par le Réal Madrid, où MBAPPE fut une fois de plus le seul buteur Parisien sur les deux rencontres est venue sans doute sceller et confirmer son départ. Incontestablement destiné à un parcours de grand, le français de 23 ans semble plus enclin à un départ vers Madrid. Malgré ses envies de départ inéluctables, la pépite n’est pas moins importante pour son club avec 15 buts et 10 passes décisives en championnat. Certains ne cachent pas de dire que les mêmes prestations au Réal Madrid lui aurait déjà valu une plus grande reconnaissance, voir un ballon d’Or.
By Fabrice OKALA
Vues : 2 511 À quelques journées de la fin de saison régulière ,deux noms se font répéter avec insistance dans la course au titre de MVP qui récompense chaque année le meilleur joueur de saison régulière . Cette saison le pivot Camerounais Joël Embiid se […]
À quelques journées de la fin de saison régulière ,deux noms se font répéter avec insistance dans la course au titre de MVP qui récompense chaque année le meilleur joueur de saison régulière .
Cette saison le pivot Camerounais Joël Embiid se livre une bataille sans relâche avec l’actuel MVP en titre Nikola Jokic pour le prochain sacre de MVP.
Sur le plan statistique ,Nikola Jokic l’emporte sur la majorité des stats par rapport à Embiid. Mais néanmoins au niveau du bilan de leurs franchises respectives Joël s’en sort en tête étant actuellement 2e de Conférence Est avec sa franchise des Philadelphia 76ers .
Ladite franchise a connue un début de saison tumultueux avec notamment le cas Ben Simmons et aussi quelques blessures . Et c’est en majeure partie grâce à Joël Embiid que les 76ers n’ont pas sombré grâce à des prestations monstrueuses et sur des bases régulières ,ce qui lui a valu un respect énorme de la part des experts analystes et journalistes .
Il est essentiel de préciser que le titre de MVP ne récompense pas le joueur ayant les meilleures stats mais comme son nom l’indique (Most Valuable Player) ,le joueur étant la meilleure plus value de sa franchise tout en gardant en vue le bilan de la franchise.
Joël Embiid après avoir manqué un éventuel titre de MVP l’année dernière pour cause de blessure sera t’il finalement MVP cette saison ?
Dr NBA
Vues : 2 529 Karim BENZEMA, l’homme qu’on ne présente plus est l’un des meilleurs avant-centre au monde depuis des années et peut-être le meilleur en ce moment. L’attaquant du Réal Madrid, 34 ans sonné, s’apparente à du vin qui « plus il vieillit, plus il […]
Karim BENZEMA, l’homme qu’on ne présente plus est l’un des meilleurs avant-centre au monde depuis des années et peut-être le meilleur en ce moment. L’attaquant du Réal Madrid, 34 ans sonné, s’apparente à du vin qui « plus il vieillit, plus il devient bon »
Longtemps mis en arrière-plan, voire sous-estimé à cause d’un coéquipier plus étincelant que lui en la personne de Cristiano Ronaldo pendant près d’une décennie, le français a sans doute remis les pendules à l’heure au point de devenir incontournable et apprécié aussi bien par ses coéquipiers que par les adversaires.
Pour Víctor Sánchez del Amo, ancien joueur du Real Madrid :
« Benzema a montré qu’il est l’attaquant total par excellence, même si ses qualités n’ont été reconnues que cette saison, mais il l’a toujours fait. Il a fait preuve de leadership en silence et, depuis le départ de Cristiano Ronaldo, il a franchi un cap. C’est un attaquant total, un bon milieu de terrain et un meilleur attaquant », a-t-il déclaré jeudi dernier.
Étincelant, époustouflant et sans doute au sommet de son art, le goléador français a conquis plus d’un par ses prestations devenues stratosphériques au fur et à mesure que le temps passe.
En effet, il est l’actuel meilleur buteur (22 buts) et meilleur passeur (11 passes décisives) de Liga BBVA, éclatant la concurrence et filant ainsi vers un titre de Pichichi qui lui tend les bras. Avec son coéquipier Vinicius Jùnior, ils forment la paire d’attaquants la plus prolifique d’Europe avec 49 buts et 27 passes décisives.
De plus, après une longue période tumultueuse en équipe de France, le français d’origine algérienne est revenu en force au point de se constituer en maillon incontournable de l’attaque des bleus avec le crack Kylian MBAPPE. Menant ainsi son pays au sacre de la dernière Ligue des Nations.
Futur ballon d’or ? futur soulier d’or ? une chose est sûre c’est que par son niveau, l’attaquant français a conquis même les plus sceptiques.
By Fabrice OKALA